The Kooples Art Prize, un prix à l’image de la marque parisienne 

Le 26 octobre prochain, The Kooples ouvrira son nouveau flagship parisien sur la célèbre avenue des Champs Élysées. L’inauguration de cette nouvelle boutique sera également l’occasion de dévoiler l’œuvre de Gaby Sahhars, l’un.e des lauréat.e.s de la première édition de The Kooples Art Prize, qui habillera les murs du lieu jusqu’en janvier 2023. Lui succédera l’œuvre de Kim Farkas, autre lauréat de cette première édition. 

 

The Kooples Art Prize est un moyen pour la marque de sceller véritablement son lien avec l’art et de marquer son engagement auprès de la scène internationale émergente. Chaque année deux lauréat.e.s sont choisi.e.s et verront leurs œuvres successivement présentées au public dans le flagship des Champs Élysées. Un lieu emblématique qui offre aux artistes une visibilité auprès d’un public large, parisien mais aussi international, et qui offre à ce public une manière différente d’entrer en contact avec la création contemporaine, peut-être plus accessible que des galeries d’art traditionnelles.

Cette année, le MAC VAL (musée d’art contemporain du Val-de-Marne), présentera les œuvres des deux lauréat.e.s lors d’une exposition temporaire à l’été 2023 lors du The Kooples Art Prize

 

Par ce prix, The Kooples encourage une création contemporaine radicale et engagée, à l’image du discours porté par la marque. De fait, avec l’arrivée de Marie Schott à la présidence et direction, et de Capucine Safyurtlu à la direction de la création, The Kooples entend renouveler son image et se réaffirmer dans la radicalité qui était caractéristique des premières collections.

 

Cette année les deux lauréat.e.s sont Gaby Sahhar et Kim Farkas.

Gaby Sahhar, d’origine franco-palestinienne est basé.e à Londres. Son travail fait dialoguer peinture, vidéo et installation et interroge la manière dont l’identité, le genre et la sexualité queer s’expriment et se manifestent dans l’espace public. Iel est un.e véritable porte-parole de sa génération et son engagement est d’autant plus fort qu’il dirige Queerdirect, une plateforme de soutien aux artistes LGBTQIA+.

Kim Farkas est franco-américain d’origine peranakan, et s’exprime dans des œuvres sculpturales aux formes organiques et biomorphiques. Avec son travail, il explore les techniques modernes d’impression 3D et fait une critique des mécanismes d’accumulation du capitalisme. 

 

Pour cette première édition, The Kooples a fait appel au curateur Thomas Coucou pour le commissariat du prix. En plus du MAC VAL, la marque a collaboré avec le Studio Marant pour la mise en place et la construction du prix, et avec Artagon qui propose aux deux lauréat.e.s une résidence de 15 jours dans sa nouvelle maison près d’Orléans.

 

Retrouvez le site de The Kooples Art price

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A propos clemence borst 245 Articles
Rêveuse et entrepreneuse, Directrice de Parisienneries

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